Mardi 26 avril.
A l'instant où je me réveille, quelque chose me dit qu'il faut que je sorte pour voir ce que se passe dehors. La tonalité des chants d'oiseaux me dit aussi qu'on est plus chez nous, en Europe.
Il est 8h30. Daniel, mon compagnon de chambre dort ou somnole encore. J'envisage de mettre mon nez dehors afin d'éviter d'ouvrir les rideaux opaques mais bruyants.
Il fait frais dans la pièce, la "clim" a ronronné par alternance toute la nuit. Quand j'ouvre la porte, une bouffée de chaleur pénètre à l'intérieur. Dehors, la luminosité me fait mal aux yeux et pourtant le soleil est dans mon dos.
Ce que j'aperçois devant moi est magnifique, le mot n'est pas fort. C'est vrai qu'hier soir, je n'avais même pas envisagé de faire le tour du "propriétaire", bien que l'extérieur soit éclairé. J'avais même oublié que Bernard nous avait dit qu'il avait réservé un hôtel au bord de la mer. Mais là, c'est au-dessus de ce que j'avais imaginé. D'ailleurs, naïvement, je n'avais rien imaginé, me laissant pour une fois, surprendre par la découverte et la nouveauté.
C'est la première fois que je vois une telle végétation. Le jardin est, en fait, un immense parc avec des plantations équatoriales ou tropicales, comme vous voulez, je ne fais pas encore la différence. Les couleurs sont fraîches et vives à la fois, bref, luxuriantes.
Vite, une douche, je m'habille rapidement et légèrement. En route pour mon premier petit déjeuner indonésien. Je ne sais pas ce qui m'attend, mais je sens que ça va être pas mal et ça me fait sourire intérieurement. Je me dirige là où je vois un peu de monde...
Et si on osait le buffet ..?
Après le petit déjeuner au bord de la plage, je continue à rêver et m'offre un petit tour dans le parc.
Quelques photos valent mieux qu'un long discours...



A l'instant où je me réveille, quelque chose me dit qu'il faut que je sorte pour voir ce que se passe dehors. La tonalité des chants d'oiseaux me dit aussi qu'on est plus chez nous, en Europe.
Il est 8h30. Daniel, mon compagnon de chambre dort ou somnole encore. J'envisage de mettre mon nez dehors afin d'éviter d'ouvrir les rideaux opaques mais bruyants.
Il fait frais dans la pièce, la "clim" a ronronné par alternance toute la nuit. Quand j'ouvre la porte, une bouffée de chaleur pénètre à l'intérieur. Dehors, la luminosité me fait mal aux yeux et pourtant le soleil est dans mon dos.
Ce que j'aperçois devant moi est magnifique, le mot n'est pas fort. C'est vrai qu'hier soir, je n'avais même pas envisagé de faire le tour du "propriétaire", bien que l'extérieur soit éclairé. J'avais même oublié que Bernard nous avait dit qu'il avait réservé un hôtel au bord de la mer. Mais là, c'est au-dessus de ce que j'avais imaginé. D'ailleurs, naïvement, je n'avais rien imaginé, me laissant pour une fois, surprendre par la découverte et la nouveauté.
C'est la première fois que je vois une telle végétation. Le jardin est, en fait, un immense parc avec des plantations équatoriales ou tropicales, comme vous voulez, je ne fais pas encore la différence. Les couleurs sont fraîches et vives à la fois, bref, luxuriantes.
Vite, une douche, je m'habille rapidement et légèrement. En route pour mon premier petit déjeuner indonésien. Je ne sais pas ce qui m'attend, mais je sens que ça va être pas mal et ça me fait sourire intérieurement. Je me dirige là où je vois un peu de monde...
Et si on osait le buffet ..?
Après le petit déjeuner au bord de la plage, je continue à rêver et m'offre un petit tour dans le parc.
Quelques photos valent mieux qu'un long discours...
Vous avez compris, le Graha Senggigi Hotel est au bord d'une petite baie, composée principalement d'une plage délimitée par deux pointes rocheuses. Devant nous, dans le sud, l'île de Lombok et sa péninsule de Bangko-Bangko.
"Selamat pagi" "Bonjour"
Vers 10h, notre guide arrive et nous informe que la responsable de l'organisation ne pourra pas venir nous rencontrer comme prévu, car son jeune fils est à l'hôpital (rien de grave, mais la maman préfère rester avec lui, ce que nous comprenons très bien).
La journée est toute à nous. Pour commencer, réunion des trekkeurs afin de constituer une trousse à pharmacie commune pour éviter d'avoir des choses en double.
Après cette répartition, on se retrouve pour notre première baignade dans l'Océan Indien.
Eau à 26-27°c, que du bonheur...Comme le dit si bien notre amie Marylène: "Mais qu'est-ce-qu'on a fait au Bon Dieu pour mériter çà ?"
Depuis ce matin, le terrasse de la plage est assaillie par des vendeurs à la "sauvette" (coquillages, paréos, babioles en tous genres, fruits...)
On se fixe un rendez-vous pour le départ pour le déjeuner. Nous envisageons d'aller de l'autre côté de la pointe dans un village de pêcheurs.
Pendant ce temps libre, nous commençons à préparer nos sacs, Daniel et moi, car demain, c'est lever à 5h pour un départ en bus à 5h45 à destination de Sembalum Lawang, village de départ du trek (plus de 3h de trajet).
12h45: En route pour le village de pêcheurs...
Sur le trajet, avant et après la pointe, des hôtels, puis on arrive dans le village de pêcheurs au bord de l'eau...
Nous finissons par trouver un bon établissement grâce aux indications d'un ...policier qui passait par là.
Au menu, poisson grillé, brochette, calamars, crevettes, le tout accompagnés de légumes frais.
Vers 15h30, retour à l'hôtel pour une tentative de sieste réparatrice...
A 18h, on se retrouve sur la terrasse pour assister au coucher du soleil derrière la pointe et aussi pour inaugurer notre traditionnel apéro pastis-saucisson. Je profite de cet évènement pour vous préciser que du fait de notre position en latitude proche de l'équateur (8°S), le soleil se lève ou se couche (à 30mn près) vers 6h ou 18h et ceci pendant toute l'année. Autre chose aussi, le soleil passe presque directement du zénith au nadir (point le plus bas) et réciproquement.
Pendant notre apéro, Kadeth nous rejoint pour préciser les dernières recommandations et pour nous dire aussi, qu'il nous accompagnera jusqu'au départ du trek en remplacement de sa "boss" toujours indisponible. Là-bas, un autre guide prendra la suite pour tout le trek jusqu'au village-retour de Senaru.
Vers 19h45, Kadeth nous conduit en minibus jusqu'à un restaurant très réputé pour ses excellentes grillades. La présence de nombreuses et belles voitures récentes sur la parking confirme la réputation locale de l'établissement. Il y a beaucoup de monde, même des indonésiens. Les tables sont installées directement sur la plage.
Excellent repas dans un ambiance très conviviale.
Pour rentrer, nous réquisitionnons un taxi sur le parking qui en appelle deux autres ce qui va permettre à tout le groupe de rentrer rapidement à l'hôtel.
22h30: De retour dans la chambre, nous constatons que la climatisation s'est arrêtée ou ne fait plus de froid quand je réussis à la remettre en marche. Il fait très chaud et comme un inconvénient n'arrive jamais seul, on entend très nettement la "sono" d'une boîte de nuit proche de l'hôtel. Même les boules "Quiès" n'arriveront pas à filtrer les fortes "basses". Ce n'est qu'à 3h du matin, que nous pouvons enfin essayer de dormir un peu.
A tout à l'heure...
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